Okhwari

Matador.

Souffre.

Mardi 20 janvier 2015 à 1:30

 There's a fire starting in my heart
The scars of your love remind me of us
They keep me thinking that we almost had it all
The scars of your love, they leave me breathless
I can't help feeling
Don't want to think about it
Don't want to talk about it
I'm just so sick about it
Just so confused about it
Feeling the blues about it
There's a look on your face I would like to knock out
Finally I can see you crystal clear
All I want is to see you in terrible pain
Think of me in the depths of your despair
You're a scum, you're a scum and I hope that you know
That the cracks in your smile are beginning to show
Throw your soul through every open door 
Count your blessings to find what you look for 
Turn my sorrow into treasured gold 
You'll pay me back in kind and reap just what you sow
I can't take my mind off you
I can't take my mind
My mind... my mind

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Je sais pas pourquoi je voulais pas y croire. Ca m'avais fait trembler le corps il y a quelques mois de ça et je m'étais dis, mais non, tu te monte la tête, c'est pas possible. Je sais pas pourquoi ça me fais encore du mal, alors que maintenant je suis bien, je suis bien putain. Je voulais pas me souvenir de notre histoire comme ça. Et maintenant quand je pense à toi je pense qu'à ça. Je veux que tu crève. Pour ces mensonges. Je comprend pas. J'ai rien fais pour mériter ça, j'ai tout fais pour toi. J''en est trop fait. Je t'ai tout donné, apparemment même l'envie de me quitter. Encore maintenant, je 
suis incapable de regarder nos photos, ça me donne la nausée. Je suis triste d'avoir était aussi aveugle, de mettre fais berné comme ça, et de ne m'en rendre compte réellement que maintenant. J'ai envie de te taper, et ta salope aussi. J'te vois bien me dire : Mais qu'est-ce que tes immature !. J'ai l'impression que ça compte pas. Chez pas, on à quand même parcourus la moitié de l'Europe ensemble ! C'est rien ? C'est du vent pour toi ? J'ai l'impression d'avoir rêver. Il n'y a que moi qui prenait mon pied ? Ma tu vraiment aimer, ou juste au début, les coups de foudre ça finit toujours par passer. Si tu savais comme je t'en veux, et a cet instant précis j'ai envie de te casser la gueule. Je veux que tu souffre. Je veux que t'arrête d'être heureux. Je veux que tu disparaisse.. disparaisse. Merde. J'espère de tout mon coeur que nos chemins ne se recroiseront plus jamais. J'aimerais 
comme dans Eternal Sunshine t'effacer de ma mémoire. Si seulement j'avais le contrôle de mes pensées. Si seulement tu n'avais pas autant influencer ma vie. Si seulement, je ne t'avais pas croisé complètement perché au amphétamine à cette soirée. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. Crève. 
 
Crève. 
 

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Karma de merde.

Mardi 7 octobre 2014 à 13:33

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J'ai encore une fois raté mon permis.
J'ai largué mon copain pour
une nouvelle relation,
qui est tellement bizarre..
Je ne sais plus quoi en penser.
Je me suis embrouiller avec les flics,
et me suis prise une putain d'amende.
Et j'ai rater l'anniversaire de mon grand père,
ce qui va me valoir une rancune éternel x).
Aha ma vie est à chier. 

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Fous-moi la paix ma sale caboche, tu ne me feras pas sombrer.

Jeudi 25 septembre 2014 à 16:10

 Je me sent tellement seule. J'aimerais tellement pouvoir exprimer ce que j'ai sur le coeur à quelqu'un qui puisse réellement comprendre. Pas un jour ne passe sans que je pense à mon père. Je fais de la merde, et j'en viens jusqu'à blesser mes amis les plus proches. Heureusement qu'ils sont magique, et compréhensifs. Comment fait-on pour faire un break dans sa propre vie ? Pour arriver a gérer, la vie amoureuse, familiale, social et professionnel ? Pourquoi inventer sans cesse de nouveau conflit familiaux, ça ne vous suffit pas sa mort ? 

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                                                                                                                                  .

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Lundi 4 août 2014 à 12:02

 11:57 - La morphine se répand doucement dans ses veines. Impuissance. Et cette peur dans ses yeux. L'infirmière dis que ça va aller très vite. Elle dis aussi, qu'à l'hôpital ça serais bien pire. Moi je doute, y a t-il un endroit meilleur qu'un autre quand on est sur le point de mourir. J'ai mal coeur. 

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L'attente.

Lundi 4 août 2014 à 9:37

 C'est dur de voir mon père dans cet état. C'est dure de le voir souffrir. On a décider de prendre l'hospitalisation a domicile, pour lui, parceque c'est mieux, qu'il parte, chez lui. Il na plus rien a voir avec mon père, autant en apparence extérieur, que intérieurement. 

Je sent qu'il lui reste très peu de temps. Tout le monde donne son avis, sur tout, sur nos choix, sur ceux qu'on devrait faire. Mais personne n'écoute nos souhait, nos besoins. Comment dire a son père qu'il est entrain de mourir ? En a t-il conscience ? Il c'est battu pendant toute cette maladie, sans jamais perdre espoir. Réalise t-il vraiment qu'il est sur le point de partir ? 
 
La mort, sujet tabou. Je m'imagine à sa place, la détresse que je pourrais ressentir. Partir sereinement, qu'elle blague. J'ai peur qu'il s'étouffe en mourant. Il y a des mois de ça, en partant à l'hôpital, il a fait une syncope. Il ne pouvait plus respirer, il nous a dis après, a quel point il avait eu peur, et cette angoisse qu'il a ressenti quand il c'est étouffer. 
 
Je vois dans ses yeux, la souffrance qu'il endure. Il ne peux quasiment plus bouger, plus parler, plus manger, ni boire. Ma mère a du reprendre le travail, je me retrouve seul avec lui, et j'ai peur. J'ai peur qu'il s'étouffe devant moi, et que je ne sache pas quoi faire. J'ai peur qu'il parte quand je suis avec lui. J'ai peur de devoir annoncer sa mort a ma mère, à mon petit frère. 

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