Petit a petit je lache prise, je me laisse porter par un quotidien morne. Le temps passe, mais rien ne se passe. Je suis spectatrice de ma propre vie. Je me sent tellement mal, tellement seule. J'ai l'impression d'être une grosse merde. Il n'y a strictement rien qui va bien. Et ça ne risque pas d'aller mieux temps que je n'arriverais pas a me reprendre en main. Mais je n'ai aucune motivation, aucun projet à long therme. Je suis perdue. Perdue de chez perdue. Ca fait un petit moment que je voulais revenir écrire, mais c'est pour écrire toujours les mêmes choses, et puis pour ça aussi j'ai pas l'envie, la motivation. Je crois que la roue est bloquer.
Okhwari
Matador.
Okhwari
Matador.
Jeudi 26 juin 2014 à 0:45
Lundi 2 juin 2014 à 22:25
Finalement le drone qu'a reçue ma mère pour son anniversaire lui a plu. C'était une lubies de mon père, je les acheter pour lui faire plaisir, en me disant que si elle n'y touche pas, lui se fera une joie de jouer avec. Résultat, les deux sont captiver par ce petit objet volant, prenant des vidéos. Pas trop ma cam, mais rien que de les voir s'amuser ensemble ma donner le sourire.
Le travail à la foire est terminée, il est maintenant temps de chercher un patron. Et oui, encore. Ca me désespère d'avance.
Je m'habitue progressivement au célibat. Du moins je pense, que je peux survivre toute seule. Enfin, heureusement qu'il y a les amis pour me tenir la main. Mais ça va me faire du bien, d'avancer seule pour une fois. De ne pas toujours avoir quelqu'un derrière moi. Je vais profiter de cette situation, plutôt que de la subir. Pas question de papilloné, je finit toujours par me faire piéger.
Je m'habitue progressivement au célibat. Du moins je pense, que je peux survivre toute seule. Enfin, heureusement qu'il y a les amis pour me tenir la main. Mais ça va me faire du bien, d'avancer seule pour une fois. De ne pas toujours avoir quelqu'un derrière moi. Je vais profiter de cette situation, plutôt que de la subir. Pas question de papilloné, je finit toujours par me faire piéger.
Pour mon père on positive. Plus de chimio, tant pis. On fera avec ce qui est naturel. On commence soft avec des jus de légumes, jus de fruit. Le mieux serait de jeuné, mais son état est encore trop faible. Les jus de légumes sont dégueulasse, mais pour l'encourager, ma mère et moi en buvons aussi. Ca ne peut que nous faire du bien. On tente, comme on peux. On garde espoir. Il n'est pas évident a convaincre. Il ne veux pas accepter le fait que maintenant, les chimio c'est finit. Le cancer c'est beaucoup étendus c'est derniers mois, nous verrons si la cure "jus de légumes" a un effet.
Je me suis mise a peindre il y a peu. Un bon moyen de décompressée, de tout évacuée. C'est vraiment agréable. Je ne suis pas vraiment douée, mais au file des peintures, il me semble que je m'améliore progressivement. J'ai quand même du mal à aboutir mes toiles, mais bon, ça viendras.
Dimanche 1er juin 2014 à 23:43
Dernièrement j'ai encore rêver de toi. On était en Russie, il faisais froid, il neigé même. On se balader dans une ville, tout les deux. Et puis il y a ce moment, ou je n'ai qu'une envie c'est que l'on se remette ensemble, mais tu ne veux pas. Je pleure, je crie. Mais tu ne veux pas. Tu me dis que c'est finit, que l'on se retrouvera peut être, plus tard, dans des années, dans un autre pays, mais que pour l'instant tu ne veux pas.. tu ne veux plus de moi.
Après ça, le réveil, ma journée, na pas était évidente. J'ai pas arrêté de cogiter. J'arrête pas de me répéter sans cesse, que c'est finit, que j'accepte la situation, que c'est la vie(aha), que c'est parfois cruel, mais qu'il y a pire. Je ne pleure plus pour toi. J'ai même un peu de rancoeur, de dégout depuis que je sais que tu sort avec cette pute. Mais je pense qu'inconsciemment j'ai encore ce petit espoir que tu reviennes vers moi. Une sorte de prise de conscience tardive, un regret. Mais ça, c'est que dans les films ou dans les séries mielleuse. Vivement que mon cerveau accepte intégralement cette rupture, que je puisse enfin passer à autre chose.
Après ça, le réveil, ma journée, na pas était évidente. J'ai pas arrêté de cogiter. J'arrête pas de me répéter sans cesse, que c'est finit, que j'accepte la situation, que c'est la vie(aha), que c'est parfois cruel, mais qu'il y a pire. Je ne pleure plus pour toi. J'ai même un peu de rancoeur, de dégout depuis que je sais que tu sort avec cette pute. Mais je pense qu'inconsciemment j'ai encore ce petit espoir que tu reviennes vers moi. Une sorte de prise de conscience tardive, un regret. Mais ça, c'est que dans les films ou dans les séries mielleuse. Vivement que mon cerveau accepte intégralement cette rupture, que je puisse enfin passer à autre chose.